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Chamila Puylaurent

La flexibilité du travail menace-t-elle la culture d'entreprise ? | L'Atelier... - 0 views

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    "Télétravailleurs, freelancers, travailleurs nomades… Le marché du travail semble aujourd'hui gagner en flexibilité. Comment la culture d'entreprise, étroitement liée au succès de l'organisation, peut-elle être préservée quand la plupart des employés sont des travailleurs temporaires et mobiles ?"
julien camacho

Le télétravail, nouvelle culture managériale | Le nouvel Economiste - 0 views

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    Productivité et temps de travail accrus, bien-être et satisfaction au travail au beau fixe, fidélité renforcée : tels sont quelques-uns des bénéfices que les entreprises françaises pionnières en la matière retirent de la mise en place du télétravail au sein de leurs équipes. Si les outils numériques indispensables à cette organisation sont aujourd'hui matures, la conversion reste lente dans l'Hexagone, la faute à une culture de la hiérarchie pyramidale encore très ancrée dans les mœurs.
Aurialie Jublin

La cooptation inspire les start-up et transforme les employés en recruteurs - 0 views

  • RolePoint, par exemple, permet aux employés d’une entreprise de recommander en quelques clics des candidats dans leurs propres réseaux sociaux : LinkedIn, Facebook et Twitter. L’entreprise utilisatrice participe peut inciter ses employés à faire des recommandations en mettant en place un système de récompense. Elle peut aussi garder un œil sur des candidats potentiels en créant une “communauté de talent” en ligne qu’elle remplit au fur et à mesure des profils intéressants croisés sur LinkedIn, Facebook et Twitter.
  • Dans la Silicon Valley, le recrutement par cooptation numérique est devenu une nécessité tant la guerre des talents fait rage. Les employés jouent aux chaises musicales entre les géants Facebook, Google et Apple, quand ils ne décident pas de se lancer dans l’aventure start-up. Dans une économie ou le capital humain est la première source de valeur, toutes les méthodes sont bonnes pour trouver le candidat idéal. A San Francisco, RolePoint, Discover.ly, Kareer.me et bien d’autres start-up sont parties à la conquête de ce nouveau marché.
  • Ces start-up ont compris que le recentrement sur la valorisation de l'individu, notamment pour la génération Y, transformait le recrutement à tous les niveaux. On peut donc se demander quel rôle les recruteurs vont jouer dans tout cela… Vraisemblablement, plus le capital humain va prendre de la valeur, notamment avec l’essor de l’économie numérique, plus les RH vont devoir se concentrer sur des programmes de valorisation et développement des employés.
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    "Après la révolution du recrutement social, qui a bouleversé les ressources humaines via les réseaux sociaux, une nouvelle ère se dessine avec des outils numériques de cooptation, qui misent sur la culture d'entreprise et les employés avant tout. Des start-up transformant les employés en chasseurs de têtes se multiplient outre-Atlantique mais aussi en Europe."
abrugiere

"Open SNCF" ou comment l'open data transforme la SNCF - 0 views

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    open data et entreprises  comment faire participer les clients mais aussi les salariés comment l'open data transforme les cultures d'entreprises, petit à petit .... 
Aurialie Jublin

Numérique au travail: une transformation jugée positive mais seulement en app... - 0 views

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    "L'enquête pointe notamment le "management collaboratif" avec "un réel décalage" entre la perception des chefs d'entreprises et celle des salariés: chez les premiers, ils sont 47% à estimer que le numérique a eu des conséquences positives sur la possibilité pour les salariés de donner leur avis sur le management et participer aux prises de décisions ; les seconds ne sont que 27% à le penser. Si "l'arrivée du numérique au travail a permis une grande souplesse dans l'emploi du temps (...), la circulation instantanée de l'information a favorisé l'avènement d'une culture de l'urgence et de l'immédiateté qui conduit à la fois à une intensification du travail (plus de tâches dans un laps de temps identique), à sa densification (assimilation de plus d'informations) et à sa fragmentation (l'individu perd ses repères avec l'éclatement des tâches dans le temps et l'espace)", relève l'enquête."
Aurialie Jublin

Et maintenant, l'entreprise productrice de sens - 2 views

  • LinkedIn considère ainsi désormais les entreprises comme des éditeurs (publishers), des producteurs de contenus… auxquels s’adresse, en conséquence, une série de nouveaux services. Et au-delà de la suppression de l’onglet “Produits et services”, qui invite à basculer son activité LinkedIn sur le partage d’actualités et de contenus à destination des abonnés de sa page (… et de leurs contacts), c’est surtout le très récent ajout d’un “content-marketing score” qui peut bousculer les choses.
  • Au-delà du content-marketing, sorte de boîte à outils de l’entreprise-média, c’est en réalité l’inbound marketing qui vient créer une rupture. Gagner l’intérêt de ses publics plutôt que d’acheter leur attention, répondre aux questions que se posent ceux qui s’intéressent à son industrie, à son activité voire aux grandes problématiques de société qui les touchent, plutôt que de faire irruption agressivement et artificiellement
  • Dans cette économie, où tout “point de départ [serait] la capacité du client à déclarer ses intentions et à en discuter”, de nouvelles technologies  telles que le “cloud personnel” permettraient à chaque individu de remaîtriser son identité numérique et de filtrer les données qu’il souhaite partager aux entreprises. Sur cette base, il déterminerait ainsi activement les informations et interactions qu’il souhaite avoir de et avec elles.
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    "Le numérique a accéléré la fin de la communication traditionnelle. Abondance de l'information et crise de confiance obligent, les entreprises ne peuvent plus asséner de valeurs sans preuve, ni s'adresser à leurs cibles sans leur apporter du sens. Créer des contenus pertinents, autour de sa culture d'entreprise, à des publics intéressés : c'est l'heure de la communication inbound."
Aurialie Jublin

Les professionnels des RH font face aux barrières à l'utilisation des méthode... - 0 views

  • Les personnes interrogées au niveau mondial ont également partagé leur vision idéale du cycle de vie de l'employé dans un monde parfait. Les pratiques auxquelles les candidats aspirent, mais qui ne sont actuellement pas utilisées, sont : •       Recrutement : Campagnes mobiles ; publicités créatives et communautés de talents ciblées •       Engagement : Environnements et espaces de travail créatifs ; partage de la stratégie et pratique d'horaires flexibles •       Développement : Programmes de détachement international ; formations et mentorat externes
  • "Une culture d'entreprise réfractaire au changement peut avoir des répercussions importantes. Un professionnel des RH insuffisamment expérimenté dans l’utilisation de méthodes innovantes, et ne disposant que de peu de marge pour les appliquer faute de temps et de ressources, reléguera ces pratiques au second plan. Ces barrières doivent être levées pour attirer et retenir les meilleures compétences, car elles représentent un frein important pour l'organisation dans sa capacité à répondre aux attentes des candidats. Il ne s’agit pas seulement d’attirer les talents nécessaires, mais bien de s’assurer que leur performance restera optimale. Sur ce point les dirigeants doivent être prêts à relever le défi. "
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    "Les professionnels des RH en France accordent beaucoup de valeur à l'innovation mais reconnaissent que des freins importants existent quand il s'agit de mettre en place des méthodes innovantes Selon les professionnels des RH, l'innovation est "cruciale" pour le développement, la rentabilité et rester à l'avant-garde. Cependant, le manque de temps et de ressources, une expérience insuffisante au sein de l'équipe RH et de gestion des talents couplés à une culture réfractaire au changement, sont autant d'obstacles à surmonter."
Aurialie Jublin

L'incroyable culture d'entreprise imaginée par Zappos - JDN - 0 views

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    Bien être des salariés avant tout Pour intégrer l'entreprise, talent et personnalité du candidat sont jugés lors de 3 entretiens Satisfaire le client à tout prix Aucune limite sur la durée des appels De l'argent pour ceux qui souhaitent quitter l'entreprise
Aurialie Jublin

Gandi laisse une semaine à ses salariés pour innover en toute liberté - 0 views

  • La Free Week est également l'occasion pour les salariés de mélanger les équipes et de faire appel à des compétences inhabituelles. «Cela permet de casser les carcans, insiste Aurélien. Nous comprenons mieux le travail de l'autre, nous partageons nos connaissances. L'essentiel reste de se faire plaisir.»
  • Pour déceler cette «valeur ajoutée» propre à chaque candidat et les aider à se familiariser avec la culture d'entreprise de Gandi, un test de compatibilité avec les équipes est disponible sur le site de l'entreprise. Le candidat doit ainsi préciser s'il préfère le ping-pong ou le babyfoot, le roller ou la trottinette… Au bout d'une dizaine de questions, un message affiche le pourcentage de «Gandiens» qui ont choisi les mêmes réponses que le candidat. Une étape de recrutement peu conventionnelle mais qui colle à l'esprit participatif de l'entreprise. «Il n'y a pas de case, pas de titre, très peu de hiérarchie, acquiesce Nicolas Lhuillery. Tous nos employés deviennent actionnaires au bout de six mois.»
  • La mobilité interne permet également à certaines recrues de changer rapidement de poste et de se découvrir des compétences dans des domaines insoupçonnés. «Un développeur peut se retrouver chef de projet s'il est plus à l'aise», glisse Nicolas Lhuillery dans un sourire. Parce qu'à Gandi, le bien-être d'un salarié témoigne de la santé de l'entreprise.
  • ...1 more annotation...
  • Mise en place il y a trois ans, la Free Week est rapidement devenue un événement très attendu. Pendant que la direction prend des vacances, la centaine de salariés que compte la PME travaille parfois nuit et jour sur les projets de son choix.
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    "Inspirée du management de Google, la «Free Week» de la société française permet aux salariés d'exprimer leur créativité. L'entreprise fait du bien-être de ses employés un élément central de sa réussite."
Aurialie Jublin

Dans la cage de l'open space - lemonde.fr - 1 views

  • Danièle Linhart va même beaucoup plus loin : elle estime que l'open space, dans sa version la plus difficile – les grands plateaux – est le symbole même des dérives du management moderne. "Ce management recherche une relative déstabilisation du salarié car il veut éviter les habitudes ou les routines qui pourraient éloigner des méthodes de travail les plus performantes. Avec sa transparence, l'open space est au coeur de cette stratégie : les salariés sont en concurrence visible, ils travaillent à découvert et comprennent vite qu'il faut se mobiliser et adopter les règles de l'entreprise. L'open space est une manière de planter le décor de la guerre économique."
  • les entreprises commencent, selon M. d'Iribarne, à s'éloigner d'une optique exclusivement gestionnaire. "Elles comprennent qu'il faut réhabiliter des espaces qui ont longtemps été déclassés comme les restaurants d'entreprise, les cafétérias, les jardins, les agoras. Ces lieux de rencontre permettent de réinventer le puits ou le lavoir d'autrefois : ils créent des moments d'échanges privilégiés, riches et spontanés. C'est important, car si les gens ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, n'ont pas envie de travailler ensemble, le travail collectif ne fonctionne pas. Il faut restaurer la valeur du travail informel."
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    Certains y voient un symbole de modernité et de transparence indépassable, d'autres, une résurgence du cauchemar tayloriste de Chaplin dans Les Temps modernes. "L'open space est à la fois l'aménagement le plus prisé des manageurs et le plus contesté par les employés", résume la sociologue Thérèse Evette qui fait ensuite un historique de l'open space. Apparition au début du XXe siècle pour une question de rentabilité foncière du fait de la densification des parcelles urbaines et des postes de travail En France, les immeubles administratifs et les sièges sociaux sont dans des appartements bourgeois reconvertis en bureaux, jusque dans les années 70 (1es tours de bureaux), voire 2000 pour son développement à grande échelle. Selon Alain d'Iribarne, la taille moyenne d'un poste de travail est passée de 25 m2, dans les années 1970, à 15 m2 aujourd'hui. " "Plébiscité pour sa souplesse et ses coûts, l'open space a fini par devenir le symbole du discours managérial sur les vertus de la communication, de la transparence et des échanges : il "assouplit les esprits" et "augmente la fluidité de l'information et les échanges informels", affirmait ainsi le secrétaire général de Danone, en 2003. " "L'open space, s'il est bien aménagé, peut convenir à une équipe qui travaille de manière réellement collective autour d'un projet", confirme Thérèse Evette, cofondatrice du Laboratoire Espaces travail de l'ENSAPLV.
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